À voir autour du Gîte

Sommaire

Camarès

Vue de Camarès (Aveyron)

Porte d’entrée à la ville haute.
Statue de la vierge.
Pont du XIe siècle.
Chapelle de Saint-Pierre d’Issis.
Musée de l’automobile.
Musée de « Papagui », biscuiterie (fabrique de biscotins).

Le « Rougier », terre de grès

Le "Rougier" (Aveyron)
Il y a 250 millions d’années, la région connaissait un climat tropical et était occupée par une vaste lagune dans sa partie centrale.
Les sédiments s’accumulent au fond sur une forte épaisseur tandis que le socle s’enfonce.
L’alternance de phases de sécheresse et d’inondation provoque alors l’oxydation de ces sédiments contenant beaucoup de fer (rubéfaction) et donne au sol sa couleur particulière d’où son nom « le Rougier ».

Sylvanès

L'Abbaye cistercienne de Sylvanès (Aveyron)

Abbaye cistercienne de Sylvanès du XIe siècle centre de rencontres spirituelles et culturelles.
Festival international de musique sacrée.
Source d’eaux thermales (32 à 37 °) qui, à l’origine, appartenait aux moines de Sylvanès.

Micropolis

Micropolis (Aveyron)

Parc à thème – Restaurant – Boutique
2400 m² pour percer les mystères d’un univers magique, une véritable immersion dans le monde fascinant de la nature et des insectes.
Une découverte inédite et riche, ludique et interactive à travers une scénographie spectaculaire et la présentation d’insectes vivants (+ de 50 espèces).
-> à ne pas manquer : la serre aux papillons, la fourmilière géante, la salle des vivariums et le Carnaval des insectes, parcours de plein air teinté de poésie et d’humour. Pendant les vacances scolaires, visites guidées thématiques et animations quotidiennes.
(Réservation obligatoire).

Micropolis (Aveyron)

Ouverture du 9/02 au 11/11/08 (Horaires nous consulter)
12780 Saint-Léons
Tél : 05.65.58.50.50
Contact@micropolis.biz

Le Tarn

Né du Mont Lozère, il a creusé un canyon dans le calcaire.
Les Causses se sont formés à l’ère secondaire; des sédiments à base de coquillages et animaux marins s’accumulèrent et durcirent.
Suite à un changement de climat, les plaques de calcaire se rompirent créant des gorges : Tarn, Jonte, Dourbie, Lot.
Les falaises qui dominent sont sculptées par l’érosion.
Les ascendants thermiques qui s’y forment permettent aux vautours d’y régner en maître du ciel.
C’est ainsi qu’au fil de l’eau nous rencontrons, castors, loutres, hérons, truites, chevesnes et forment une représentation de la faune sauvage.
Les grottes quant à elles, accueillent 23 espèces différentes de chauves-souris.
Le Causse est une région aride, dénudé, et pierreuse. Le côté sauvage y est incontestablement magnifique mêlant la fraîcheur des vallées et l’aridité des plateaux.
Descente en canoë incontournable pour petits et grands
Les villages de Saint Enimie et saint Chély du Tarn sont parmis les plus beaux villages de France.

Saint Affrique

Saint Affrique (Aveyron)
Saint Affrique s’étend de part et d’autre de la Sorgues, dans un site vallonné qu’entourent des collines culminant à 600m.
Aussi, l’appelle-t-on « la ville aux sept collines » comparaison flatteuse de la célèbre position de Rome.
Saint Affrique est une ville pont. Trois ouvrages ont été édifiés sur la rivière.
Le pont vieux avec ses trois arches en dos d’âne date du XIVe siècle.
La largeur de sa chaussée entre les parapets ne dépasse pas les 2,50m d’où la construction du Pont Neuf (1792-1810) facilitant la circulation d’une rive à l’autre.
Un troisième a été jeté par dessus la Sorgues en 1889 connu sous le nom de Pont du Centenaire.
Les dimensions étonnent les visiteurs car tous trois enjambent un cours d’eau qui ressemble en été à un ruisselet couvrant à peine les galets.
Il faut les voir en hiver, lors des terribles crues de la Sorgues, assaillis par un flot tumultueux.
Alors, on s’inquiète de savoir s’ils résisteront.
Marché hebdomadaire le samedi où les étals regorgent de produits fermiers, de fruits des campagnes environnantes : couleurs, odeurs, accents, chaleur des mots.

Roquefort, une légende

Cave de Roquefort, pays du fromage (Aveyron)

Ce village accroché au flanc d’un éboulis colossal, est devenu le lieu d’une industrie exemplaire de par ses conditions géographiques uniques au monde.
La monumentale corniche calcaire d’époque jurassique, visiblement fracturée en tous sens, est le témoin d’un effondrement très ancien.

Le rocher de Roquefort pays du fromage (Aveyron)

L’agglomération, blottie le long d’un étroit gradin, s’étire au flanc de l’éboulis qui s’est formé au cours des âges.
C’est au coeur de la roche que sont situées les caves où s’affine le Roquefort.

La Couvertoirade, cité templière

Cité templière de La Couvertoirade (Aveyron)

La Couvertoirade, cité fortifiée d’origine templière et hospitalière sur le plateau du Larzac, en Aveyron.
Un des plus beaux villages de France.
L’arrivée par la route au niveau de la Porte Haute permet de remarquer l’état de conservation de l’enceinte qui entoure presque intégralement les maisons.
On y distingue les rues principales et les ruelles, l’emplacement des portes, des tours rondes, des tours carrées, la belle architecture défensive que l’on a su préserver et mettre en valeur.
En arrière de la porte, l’escalier de pierre du XVe siècle ouvre l’accès à la courtine tandis que, du chemin de ronde, se déroule une vue générale de la Couvertoirade englobant le clocher de l’église, le cimetière et le Château des Chevaliers du Temple XIIe siècle appuyé sur les rochers aménagés en fortin avancé.

La Cavalerie

La Cavalerie (Aveyron)

La Cavalerie ne possède qu’une partie de son enceinte fortifiée par les Templiers au XVe siècle : des tours rondes, des remparts qui s’intègrent à la courtine du nord-ouest, longue de 90 m, la tour carrée de la porte Est dont trois côtés s’ornent de mâchicoulis.
A l’intérieur de l’enceinte, s’élèvent quelques maisons anciennes riches de baies et de portes sculptées du XVIe siècle, d’escaliers à vis.

Le Cirque de Navacelles

Le Cique de Navacelles (Aveyron)

Venez emplir vos yeux de ce grandiose spectacle de la nature à 300 mètres sous vos pieds.
Le Cirque de Navacelles est un amphithéatre creusé dans le Causse par le cours de la Vis après plusieurs millions d’années de sape contre les roches calcaires.

Le Viaduc de Millau

Le viaduc de Millau (Aveyron)

« Il est Bô comme un batô ! »
Le Viaduc de Millau nous fait rêver !
En l’approchant, il nous donne l’impression d’apercevoir un de ses grands voiliers !
D’une longueur de 2460 mètres, c’est la hauteur de ses piles qui nous impressionne le plus.
Il porté par 7 piles dont la plus haute culmine à 245 mètres.
Son tablier a une largeur de 32 mètres et se trouve à 270 mètres au-dessus du Tarn.
Construit entre 2001 et 2004, sa réalisation fut rendue nécessaire pour contourner le terrible et célèbre bouchon de Millau.
Aujourd’hui les villes de Clermond Ferrand et Montpelier sont interconnectées par l’autoroute l’A75.
Si vous passez sur l’A75 à Millau, arrêtez-vous sur l’aire du Viaduc de Millau et prenez le temps d’aller admirer cet ouvrage d’art.

La chapelle Russe orthodoxe

La chapelle Russe orthodoxe (Aveyron)

Démontée en 1994 dans un village à 800 km de Moscou, elle fut acheminée et recontruite à Sylvanès.

La chapelle Russe orthodoxe (Aveyron)

Cette chapelle est dédiée aux communautés chrétiennes de tradition byzantine.

Arnac

« La Mouline » emplacement d’un martinet de fer qui fonctionna jusqu’au milieu du XVII ème siècle.

Brebis de Lacaune

Moutons et brebis Lacaune (Aveyron)

Seule la race ovine de Lacaune est exploitée pour la traite.

Lavognes

Lavogne (Aveyron)

Sur les plateaux calcaires du Causse, ni ruisseau, ni source.
Depuis des millénaires, les bergers ont aménagé des points d’eau (les lavognes).
Deux fois par jour, elles reçoivent la visite des troupeaux.

Albi

Cathédrale d'Albi (Tarn)

(Extrait du site internet ville d’Albi)
Surnommée ville rouge du fait de la couleur des briques de sa cathédrale et de son centre ancien.
Albi se situe sur le Tarn près des vignobles de Gaillac.
Devise : La devise de la ville est « Stat baculus vigilatque leo turresque tuetur » ce qui signifie « Le sceptre est ferme, le lion veille et protège les tours », elle date de 1764.
Le sceptre fait sans doute allusion à la croix archiépiscopale des armes de la ville.
En 1236, la première devise de la ville était « sigillum comutatis albie ».

Blason d'Albi (Tarn)

Le blason de la ville est constitué : Un mur crénelé à deux portes symbolisant la ville fortifiée.
Un mur soutenant en son milieu la crosse épiscopale accostée de la lune (décroissante) et du soleil, tous deux, éléments des armoiries des Comtes de Toulouse puis du Languedoc.
Un léopard placé sur ce mur, symbole de la force.

Statue du Palais Bernie à Albi (Tarn)

Histoire : L’origine du nom Albi reste du domaine des hypothèses.
Il pourrait venir de Alp préfixe celte signifiant lieu escarpé ou oppidum ou de Albius, nom d’un notable vivant à Albi à l’époque romaine, ou encore de alba (blanc en latin) des falaises calcaires entourant la ville.
On note aussi l’orthographe (vieillie) d’Alby.
Vers l’An Mil, Albi entra dans le fief de la famille Trencavel, les seigneurs d’Ambialet.
La ville était pourtant fief ecclésiastique, mais comme un Trencavel était toujours évêque, la famille en usait comme de son bien.
Aux XIIe et XIIIe siècles, Albi fut un important centre d’implantation du mouvement religieux cathare; une controverse qui s’y tint donna d’ailleurs aux Cathares le surnom d’Albigeois (ceux qui défendent la doctrine défendue à Albi).
Le catharisme, jugé hérétique par l’Église catholique, fut violemment réprimé lors de la croisade contre les Albigeois.
Albi passa pourtant dans le camp catholique sans résistance; par la suite la construction du palais épiscopal fortifié de la Berbie et de l’imposante cathédrale Sainte-Cécile ancra la ville dans le giron de l’Église.
Le massacre de la Saint-Barthélemy (24 août 1572 à Paris) se répéta à Albi le 5 octobre, et donna lieu à des règlements de compte[1].
Au XVIIIe siècle, le marquis de Solages, seigneur de Carmaux, tenta l’une des premières extractions industrielles de charbon en France.
Il obtint l’autorisation de construire une ligne de chemin de fer hippomobile jusqu’à Albi.
Ainsi naquit le faubourg de la Madeleine.
À La Révolution, Albi perdit un temps son rôle moteur au profit de Castres.
Mais Castres était jugée peu sûre par les républicains, qui finirent par la fuir pour se réfugier à Albi.
Albi finit par devenir chef-lieu en 1797, après une brève hégémonie castraise.

Brusque

La grotte des Baumes (caverne qui servait, selon la tradition, de temple aux protestants).
Tour de la vieille église.
Vieux ponts.
Rocher de la « Fouace ».
Ermitage saint thomas XII siècle où coule une source.

Viala-du-pas-de-Jaux

Viala-du-pas-de-Jaux (Aveyron)

A l’origine, le Viala n’était qu’un mas. Sa destinée changea vers le milieu du XII siècle lorsqu’il fut donné au Templiers.
Les Chevaliers de Sainte-Eulalie-de-Cernon y édifière une motte afin de protéger le domaine puis les Hospitaliers y bâtirent la tour carrée que s’efforce de restaurer depuis 1978 une association de sauvegarde.
Haut de 20 m, ce bâtiment rectangulaire du XV siècle, comportait une cave au rez de chaussée, une cuisine puis quatre étages de grenier qui servaient à stocker les redevances versées par les habitants du Viala.
Un corps de logis, flanqué d’une tour ronde, s’élève dans son prolongement.
Quelques demeures avec portes et fenêtres du XVII siècle. Église du XIX siècle.
Croix anciennes dans le village ou sur les chemins proches.

Sainte Eulalie de Cernon

Sainte Eulalie de Cernon (Aveyron)

Capitale du Larzac templier, Sainte Eulalie connut un brillant passé car le bourg abrita la plus importante commanderie du Midi de la France.
L’architecture du village porte témoignage de cette histoire : les remparts, le chemin de ronde, les tours à mâchicoulis et les portes fortifiées, élevés par les habitants avec l’aide financière du commandeur, rappellent les années troublées de la fin du moyen âge.
Une tour-porte ogivale permet d’accéder au coeur de Sainte-Eulalie.
Au fond d’une cour, subsiste une tour de l’ancien couvent ornée d’un escalier à vis et d’une terrasse à balustres de pierre.

Fayet

Porte de 1638 dans le village (ancien relais de pèlerins).
Lavoir couvert (le Théron).
Visite du château de Fayet XVI siècle.
Église de Laroque XIV siècle.
Château de Laroque XII siècle (privé).
Lavoir à Laroque.

Gissac

Les éoliennes de Merdelou (Aveyron)

Visite du château de Montaigut.
Maison rurale de 1914.
Musée du plâtre, four à plâtre, sentiers de découverte, moulin à plâtre, carrière de gypse à ciel ouvert.
Chapelle Saint-Jacques.
Château de Gissac, ancienne demeure seigneuriale du XVI au XIX siècles.

Mas d’Andrieu

Aqueduc et habitat gallo-romain.

Andabre

Source d’eaux minérales bicarbonatées, sodique et ferrugineuse.

Mélagues

Église paroissiale XIV siècle choeur à décor baroque.
Chapelle Saint-Pierre des Cats XIV avec clocher néo roman.
Chapelle Saint-Maurice de Cartayrade XIV siècles.
Du col du Thalis on peut voir la Méditerranée au sud (point de vue unique en Aveyron) et le mont Aigoual à l’est.

Montagnol

Porte d’entrée d’une ville close.
Église paroissiale du XIX siècles.

Cénome

Statue-menhir visible sur l’aire (saut de la Loche) en direction de Tauriac.

La Verrière

Menhir (Aveyron)

Découverte d’une statue-menhir appartenant à un groupe particulier sans figuration de visage en bordure de chemin.

Montlaur

Croix sur la place érigée le 15 Août 1882 construction d’un canal d’irrigation dans les années 1860 et du pont qui emjambe la rivière (Dourdou).
Circuit des statues-menhirs.

Peux et Couffouleux

Saint-Méen, source (Aveyron)

Saint-Méen, lieu de pèlerinage où jaillit une source abondante qui guérit un grand nombre de maladies de peaux.
Four à pain restauré à falgous.
Blanc site remarquable dominant la vallée de sanctus.

Le Merdelou

Les éoliennes de Merdelou (Aveyron)

Point culminant du sud-Aveyron à 1110 mètre avec vue sur la Méditerranée.
Visite libre du parc éolien de Merdelou-Fontanelle.

Tauriac

Eglise du XIX siècles, lavoir.
Découverte d’une statue-menhir, visible au pont du Bondou à 700m environ avant l’entrée du village.